S’entraider
Célébration
Accueil – Salutation
Vous êtes accueillis au nom d’un autre !
Un culte, c’est notre façon, humaine et imparfaite, d’entrer en relation avec la parole de Dieu et d’entendre la Bonne Nouvelle de son amour infini et gratuit.
Qui que vous soyez, quel que soit le poids de votre fardeau ou l’élan de votre espérance, soyez assurés que vous êtes les bienvenus.
Proclamation de la grâce de Dieu
La grâce et la paix nous sont données, gratuitement.
Aucun chemin n’est tracé d’avance ! nous avançons pas à pas, certains de l’amour qui nous accompagne.
Sur les chemins de notre humanité, Dieu nous rassemble aujourd’hui.
Sur nos chemins quotidiens, c’est Jésus-Christ qui nous attend, nous espère et nous guide.
Psaume : 25,1 : À toi mon Dieu, mon cœur monte
Louange
Nous prions :
Nous te louons, Seigneur,
car tu n’as pas dédaigné d’être appelé notre Père.
Tu es au cœur de ce monde,
et pourtant tu le tiens entre tes mains.
Tu es notre Père, tu nous connais par notre nom.
Tu es béni, créateur de toute chose bonne.
Tu es béni, toi qui nous mets dans ce monde
Et nous donne à vivre dans ce temps.
Tu nous donnes à notre humanité,
tu nous accompagnes sur le chemin des jours.
Nous te rendons grâces pour les œuvres de tes mains,
Pour tout ce que tu fais parmi nous,
Par Jésus-Christ, notre Seigneur.
Sans cesse, nous chanterons ta fidélité.
Psaume : 36 : Ô Seigneur, ta fidélité
Volonté de Dieu
Écoutons la loi que Dieu nous donne :
Libère les gens enchaînés injustement,
Enlève le joug qui pèse sur eux.
Rends la liberté à ceux qu’on écrase,
Bref, supprime tout ce qui les rend esclaves.
Partage ton pain avec celui qui a faim,
Loge les pauvres qui n’ont pas de maison,
Habille ceux qui n’ont pas de vêtements.
Ne te détourne pas de celui qui est ton frère.
(Ésaïe 58 : 6-8, traduction Paroles de vie)
Psaume : 25,3
Prière de repentance
Nous prions :
Notre Dieu, regarde !
Nous sommes au milieu de la route et nos pas s’arrêtent malgré nous.
Nous entendons ta loi, mais d’autres voix nous interpellent.
Nous savons que tu nous appelles, mais nous sommes ici, au milieu, et nous n’arrivons pas à avancer.
Nous avons peur de l’inconnu, nous sommes fatigués, nous avons mal, nous ployons sous toutes les misères du monde.
Nous voudrions avancer, mais notre joie s’effiloche et le courage nous abandonne.
Nous entendons tant de choses ! nous sommes attirés par d’autres voix que la tienne, nous essayons de te trouver et nous ne te voyons pas.
Nous ne comprenons pas ta loi. Tu nous dis de lutter pour la liberté et la dignité de notre prochain, et nous perdons notre temps à tergiverser au lieu de t’obéir.
Nous n’entendons que des murmures, et les voix qui nous appellent sont trop loin pour que nous les entendions vraiment.
Pardonne-nous nos hésitations et notre manque de confiance en toi.
Redis-nous aujourd’hui une parole qui nous fasse vivre, une parole qui nous mettra en marche sur le chemin des jours, une parole qui donne confiance.
Amen
Psaume 25,5
Déclaration et accueil du pardon
C’est Dieu lui-même qui nous appelle ! Il est plus grand que sa propre loi, son amour est plus vaste que toutes nos hésitations.
Au moment où nous nous lamentons, il nous a déjà pardonné.
« Les choses anciennes sont passées, toutes choses sont devenues nouvelles ! »
Aucune faute, aucune hésitation, aucun mal ne peut nous séparer de l’amour que Dieu nous porte.
Que cette certitude nous donne la force et l’espérance pour accueillir le quotidien avec joie et notre prochain avec amour !
Nous chantons notre reconnaissance.
Psaume 14,3 : Magnifique est le Seigneur
Prière avant la lecture de la Bible
Luc 10,25-37 : L’histoire du « bon Samaritain » (traduction Parole de vie)
Alors un maître de la loi arrive. Il veut tendre un piège à Jésus et lui demande : « Maître, qu’est-ce que je dois faire pour recevoir la vie avec Dieu pour toujours ? » Jésus lui dit : « Qu’est-ce qui est écrit dans la loi ? Comment est-ce que tu le comprends ? » L’homme répond : « Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être, de toute ta force et de toute ton intelligence. Et tu dois aimer ton prochain comme toi-même. » Jésus lui dit : « Tu as bien répondu. Fais cela et tu vivras. » Mais le maître de la loi veut montrer que sa question est juste. Il demande à Jésus : « Et qui est mon prochain ? » Jésus répond : « Un homme descend de Jérusalem à Jéricho. Des bandits l’attaquent. Ils lui prennent ses vêtements, ils le frappent et ils s’en vont en le laissant à moitié mort. Par hasard, un prêtre descend aussi sur cette route. Quand il voit l’homme, il passe de l’autre côté de la route et continue son chemin. Un lévite fait la même chose. Il arrive à cet endroit, il voit l’homme, il passe de l’autre côté de la route et continue son chemin. Mais un Samaritain en voyage arrive près de l’homme. Il le voit, et son cœur est plein de pitié pour lui. Il s’approche, il verse de l’huile et du vin sur ses blessures et il lui met des bandes de tissu. Ensuite, il le fait monter sur sa bête, il l’emmène dans une maison pour les voyageurs et il s’occupe de lui. Le jour suivant, le Samaritain sort deux pièces d’argent, il les donne au propriétaire de la maison, et il lui dit : “Occupe-toi de cet homme. Ce que tu dépenseras en plus pour lui, je le rembourserai moi-même quand je reviendrai par ici.” » Et Jésus demande : « À ton avis, lequel des trois voyageurs a été le prochain de l’homme attaqué par les bandits ? » Le maître de la loi répond : « C’est celui qui a été bon pour lui. ». Alors Jésus lui dit : « Va, et toi aussi, fais la même chose ! »
Prédication
Un homme est à terre. Il est blessé. Si quelqu’un ne vient pas le chercher là où il est, il mourra. Par lui-même, il n’est plus dans le monde des vivants. Nous avons tous rencontré de ces humains qui meurent à petit feu. Seuls. Dans le fossé, le long de la route, isolé de tous les autres humains. Nous avons tous connu ce moment où, lorsque nous yeux se posent sur lui, au cœur de sa misère et de sa faiblesse, nous n’avons pas su quoi faire.
La plupart du temps, devant une misère extrême qui nous saute aux yeux, nous détournons le regard. Nous le voyons oui, cet homme à terre. Nous détestons le mal dans le monde qui accable nos frères humains. Mais nous détournons le regard. Qui sommes-nous pour lutter contre le mal ? Nous ne sommes nous-mêmes que des humains, aussi faibles, au fond, que les malheureux que nous croisons. Nous sommes comme ces deux religieux, le prêtre et le lévite. Ils ont une fonction, une identité, un métier à exercer qui les appelle quelque part au bout de leur chemin. Ils sont cette identité-là, prêtre, lévite, cette identité qui leur appartient et les fait être quelque chose de précis dans ce monde. Tous autant que nous sommes, nous tenons debout par ce que nous pensons être notre identité. Une fonction, un métier, une fierté, une place dans la société. Cette identité nous donne un rôle précis, des habitudes et même des lois qui nous indiquent le chemin à suivre. Comme ces deux hommes religieux qui ne peuvent pas se permettre de s’arrêter auprès d’un mourant, parce que ça les rendrait impurs, et qu’ils ne pourraient plus alors exercer leur fonction. Il y a des gens qui les attendent et qui s’attendent à ce qu’ils remplissent leur rôle, ils ne peuvent pas les trahir ni même les faire attendre. Le poids de leur fonction et de leur identité leur fait détourner le regard. Ils choisissent d’être ce qu’ils sont… et ça les empêche d’utiliser ce qu’ils ont. En effet, le vin et l’huile font partie du rituel dont ils sont les spécialistes… mais pour rester au service des vivants, ils ne peuvent pas se mettre au service d’un homme mourant.
Le Samaritain, lui, n’est pas un homme comme les autres. D’ailleurs si l’évangéliste l’appelle « Samaritain », c’est pour dire que ce n’est pas un vrai Juif. Ce n’est pas la religion qui l’a mené à Jérusalem, puisque pour lui, le lieu saint c’est Samarie, à l’étranger. Il est étranger, et voyageur. Il n’a rien à faire là. Il n’a pas la bonne identité dans la société. Il est un peu, au fond, comme cet homme au bord de la route, laissé à demi-mort dans le fossé. Ils ne sont, ni l’un ni l’autre, comme il faudrait être. Et c’est ce Samaritain, étranger, qui n’a pas d’identité sinon en négatif, qui va se pencher sur le mourant. C’est lui qui pourra se servir de ce qu’il a, l’huile et le vin.
Les deux premiers hommes choisissent d’être ce qu’ils sont… et ça les empêche d’utiliser ce qu’ils ont. Le Samaritain ne choisit pas d’être ce qu’il est… et ça lui permet d’utiliser ce qu’il a.
Lui aussi voit l’homme, et c’est la compassion qui le fait s’agenouiller pour l’examiner de plus près. Peut-être bien qu’il ne pourra rien faire. Mais ce qui le met en mouvement, la compassion, c’est ce qu’il a et qui lui vient d’ailleurs. La compassion ne vient pas de nous-mêmes, elle vient de la relation que nous avons avec l’autre. Ca ne sert à rien, la compassion, ça ne se possède pas, c’est au-delà de tout contrôle. Mais c’est ce qui passe outre à notre identité propre, à nos habitudes, à nos propres lois, pour nous faire entrer en vérité dans la relation avec l’autre.
Les religieux possèdent ou croient posséder leur propre identité et se détournent pour ne pas la mettre en jeu. Le Samaritain ne s’appuie pas sur son identité, il entre dans la relation et il a tout à donner.
Mais tout, c’est quoi, au fait ? Un peu d’huile, un peu de vin, un peu de son temps. L’usage de sa monture. L’usure de ses propres chaussures, à cheminer dans le désert en retenant l’homme blessé pour ne pas qu’il tombe à nouveau. Mais après, qu’est-ce qu’il donne ? « Le lendemain, à son départ, il sortit deux pièces d’argent, les donna à l’aubergiste et dit ‘Prends soin de lui, et ce que tu dépenseras en plus, je te le rendrai à mon retour’. » Il donne ce qu’il n’a pas ! Il donne ce qui appartient à l’aubergiste, du temps, du soin, de la proximité humaine, de la nourriture, un abri. Voilà une drôle de générosité ! Il donne en prêt, il donne ce qui est à l’autre. Il donne une promesse. « Je repasserai ». Bien souvent, nous nous débarrassons des importuns en disant, plus tard ! Je te donnerai quelque chose plus tard, je repasserai, on reparlera, on aura le temps, la prochaine fois… Ce n’est pas du tout ce que fait le Samaritain ! Il donne au présent même ce qu’il n’a pas. Il fait entrer la promesse dans la réalité. Ca n’est rien du tout, une promesse, ça ne fait vivre personne. Et pourtant… ici, elle sauve un homme.
Mais au fait… le retour… ça ne vous dit rien ?
Et au fait, c’est qui, ce Samaritain ?
Le Samaritain, dans cette parabole, c’est celui qui vient, et qui vient à la rencontre du plus faible. Il est remué aux entrailles par la souffrance humaine. Il sauve. Il promet son retour. Ca ne vous évoque rien ? Et même, en creusant un peu plus, cette auberge… On entre bientôt dans le temps de l’Avent et nous allons lire et méditer ces textes de la nativité. Rappelez-vous, chez Luc (Lc 2,4-7) :
« Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée dans la ville de David, appelée Bethléhem, parce qu’il était de la famille et de la lignée de David. Il y a alla pour se faire inscrire avec sa femme Marie qui était enceinte. Pendant qu’ils étaient là, le moment où Marie devait accoucher arriva, et elle mit au monde son fils premier-né. Elle l’enveloppa de langes et le coucha dans une mangeoire parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’auberge. »
L’auteur de l’évangile de Luc s’amuse à des clins d’œil avec ce personnage du Samaritain. Celui qui vient, qui s’émeut de la souffrance humaine, qui naît hors des marges de la société et qui vient rejoindre les marginaux sur terre. Celui qui témoigne de la promesse et qui promet à son tour, à toute l’humanité, qu’il viendra faire justice. Celui qui paie pour l’autre. Celui qui sauve. Le seul qui puisse vraiment s’approcher de ceux qui ont besoin d’être sauvés. Le Christ.
Mais alors que désigne cette parabole ? Relisons le cadre narratif de la parabole du Samaritain. Je fais le pari avec vous que c’est ce cadre, ces quelques lignes avant et après la parabole proprement dite, qui lui donnent son sens.
« Un professeur de la loi se leva et dit à Jésus pour le mettre à l’épreuve : ‘Maître, que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle ?’ Jésus lui dit : ‘Qu’est-il écrit dans la loi ? Qu’y lis-tu ?’ Il répondit : ‘Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même.’ ‘Tu as bien répondu, lui dit Jésus. Fais cela et tu vivras.’ »
Tu as bien répondu, dit Jésus. Tu as posé le doigt sur ce qui fait vivre en vérité. Aimer Dieu et aimer le prochain. Mais c’est bien l’identité du prochain qui pose problème…
La question « Qui est mon prochain » interroge précisément cela : qui est le Christ ? C’est la fin de la narration qui donne la clé, dans un renversement très surprenant. Car à la question « Qui est mon prochain », la morale ordinaire répond que le prochain, c’est le faible, le blessé, celui qui a besoin d’aide. Mais ce n’est pas ça que répond Jésus ! Il pose une autre question, qui renverse la compréhension de la morale ordinaire et de nos propres attentes.
« Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands ? » Il n’y a que trois réponses possibles à cette question : les trois personnages du début, les deux religieux et le Samaritain. Qui s’est montré le prochain ? « C’est celui qui a agi avec bonté envers l’homme à terre », répond l’homme. Le prochain, c’est celui qui sauve. Qui est ton prochain, c’est celui qui te sauve, qui entre en relation avec toi, au milieu des brigands, au cœur du monde, dans toutes les détresses, lorsque tu es à moitié mourant. Il ne s’agit pas du tout, dans cette parabole, d’une leçon pour savoir comment aider les autres, comme on le croit souvent.
Il s’agit de se voir soi-même, aidés, sauvés par le Christ ! C’est lui qui vient, c’est lui qui est ému par ta détresse, c’est lui qui te sauve…
Jésus lui dit, et nous dit : « Va agir de la même manière, toi aussi ». Va être sauvé.
La question du départ était simple : « Que faire pour hériter de la vie éternelle ». La réponse est encore plus simple : « Va être sauvé ». C’est le Christ qui vient te sauver, vas-y.
En voulant se justifier, le docteur de la loi tentait de se donner une identité, il voulait la recette pour être un homme bon destiné à la vie éternelle. Ce qui lui donné, ce n’est pas une recette pour être quelque chose, c’est une demande : aie la foi, use de ce que tu as reçu. Laisse le Christ entrer en relation avec toi. Ce qu’il a à te donner, c’est une nouvelle identité, que tu n’as pas à gagner ni à défendre. Ne cherche pas à vivre de ta propre identité ou à te donner une identité à toi-même, elle te fait détourner le regard. Va. Va être sauvé. C’est de toi qu’il s’agit. Laisse le Christ entrer en relation avec toi, sois en dette d’une identité qui t’est donnée, pour vivre dans ce monde, au milieu de tes prochains, capable de leur venir en aide à ton tour. C’est ça, le salut. Et c’est la seule promesse qui vaille.
Amen.
Cantique : 31-32 : Ils ont marché au pas des siècles
Confession de foi
Éclairés et rassemblés par la Parole de Dieu, nous confessons ensemble notre foi.
Nous croyons en Jésus-Christ :
Il « est venu pour servir et non pour être servi »
Reconnaître son autorité, c’est d’abord accepter de se laisser servir par lui.
Il nous donne la liberté, la confiance et le courage pour agir et être.
Nous croyons en Jésus-Christ :
Il nous libère de devoir chercher l’assurance de notre valeur dans le regard des autres
Ou dans nos actes.
Grâce à son autorité nous ne sommes plus le centre de nous-mêmes
Il donne à notre vie une dignité et une identité que nous n’avons plus à conquérir.
Nous croyons en Jésus-Christ :
Il a vécu de la parole du Père, inspiré par l’Esprit du Père.
Son autorité est créatrice, et elle nous fait grandir dans notre humanité.
Son autorité ne contraint pas. Elle construit la confiance,
Elle ouvre à l’espérance.
Amen !
Cantique : 45-06 : Ô Jésus mon frère
Offrande – Annonces
Intercession
C’est maintenant le temps de l’intercession. Nous intercédons les uns pour les autres, et pour toute l’humanité. Nous prions.
Notre Père qui es aux cieux,
Nous voulons aujourd’hui te parler de la terre,
De ses misères et de sa violence.
Les oubliés dans les prisons du monde
Les inconnus qui souffrent en silence dans nos villes
Les victimes de la puissance militaire
Les opprimés par une puissance économique aveugle et sourde
Que tous les hommes te reconnaissent comme Père,
Et qu’ils se découvrent comme des frères.
Qu’ils aient à cœur de te laisser de la place dans leur vie.
Que soient posés des gestes de réconciliation et de paix
Et que ces gestes deviennent signes de ton Règne qui vient.
Fortifie tous ceux et celles qui luttent pour la dignité de l’homme
Ceux qui s’engagent à dénoncer la violence et l’injustice.
Que ta volonté ne demeure pas de belles paroles,
mais qu’elle soit faite sur la terre comme au ciel.
Aujourd’hui des humains meurent de faim alors que d’autres croulent sous l’abondance.
Apprends-nous à partager le pain que tu nous donnes.
Les humains s’égarent sur les chemins de la tentation,
Tentation du pouvoir
Tentation de l’argent
Tentation de l’isolement et de la méfiance
Délivre-nous de la tentation.
Voici nos soucis, nos peurs et nos angoisses, notre inquiétude et notre fatigue.
Les humains souffrent, ils sont malades, ils ont peur, ils sont seuls.
Délivre-nous de ce mal.
Voici nos désirs et nos espoirs, aide-nous à en faire une force de vie.
C’est vers toi que monte notre prière,
Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire,
Aux siècles des siècles. Amen
Envoi et bénédiction
Les choses anciennes sont passées.
Toutes choses sont devenues nouvelles.
Nous avons entendu la parole de la confiance qui nous lance sur les chemins.
Avançons avec courage et avec toute notre confiance dans le Christ qui nous accompagne !
Je vous invite à vous lever pour recevoir la bénédiction de la part de Dieu :
Dieu nous bénit et nous garde.
Il nous accorde sa grâce.
Il tourne sa face vers nous et nous donne la paix.
Amen.
Cantique : 62-81 : Que la grâce de Dieu
Version téléchargeable :
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