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Célébration :
Nous vous proposons un culte avec une liturgie centrée sur le thème « Partager le pain vivant »
Accueil – Salutation
Dans ce temps de culte, nous allons vivre un partage : le partage d’une Parole, d’une présence et d’une promesse. Qui que vous soyez, soyez les bienvenus aujourd’hui pour ce partage plein d’espérance !
Cantique : 21-19 : Seigneur nous arrivons
Invocation
Notre Père qui es aux cieux, tu nous rassembles ce matin et nous ne te voyons pas. Parce que, tout simplement, tu n’es pas là. Tu es ailleurs, là où nous ne pouvons même pas t’imaginer. Et pourtant, tu es là, au cœur de notre assemblée, au cœur de chacun de nous. Si nous sommes ensemble ce matin, c’est pour célébrer ton absence, et pour célébrer ta présence.
Notre Père qui es aux cieux, nous sommes devant toi et nous savons, nous espérons, nous croyons, que tu nous aimes sans condition. Nous allons te redire nos tentatives pour t’aimer. Nous allons nous redire à nous-mêmes notre certitude de ta grâce.
Notre Père qui es aux cieux, que ta parole ce matin nous entraîne vers un avenir. Qu’elle nous bouleverse et nous touche. Qu’elle nous assure de ta présence au cœur même de ton absence.
Cantique : 21-14 : Les mains ouvertes devant toi
Prière de louange
Notre Père, que ton nom soit sanctifié. Qu’est-ce que ça veut dire ? ça veut dire que nous reconnaissons que tu es Dieu, que nous ne pouvons pas te connaître tout entier, que tu te donnes à connaître comme une présence à partager. Tu viens sur nos chemins, et c’est ton nom qui nous vient quand l’inconnu nous interpelle. Que ton nom soit sanctifié, ça veut dire : n’oublions jamais que notre Dieu a un nom, que c’est quelqu’un qui nous attend, qui nous accompagne et qui nous parle.
Notre Père, que ton nom soit sanctifié. Amen.
Cantique : 14-03 : Magnifique est le Seigneur
La loi de Dieu
Quand Jean le baptiste annonçait la venue du Christ et baptisait les foules, certains lui demandaient ce qu’ils devaient faire. Alors il répondait : « Que celui qui a deux tuniques partage avec celui qui n’en a pas, et que celui qui a de quoi manger fasse de même » (Lc 3,10-11).
Ceux qui l’entendaient devaient penser à leurs ancêtres qui, dans le désert, partageaient la manne tombée du ciel. Il y en avait assez pour tous et personne n’avait faim. Mais voilà, sortis du désert, les humains ont eu du mal à partager le pain… Le partage est au cœur de l’Évangile, mais nous, les humains, nous ne savons pas très bien faire ça par nous-mêmes…
Aujourd’hui, qu’il nous soit donné d’entendre à nouveau ce qui nous rend libres de partager.
Psaume 36,1 : Ô Seigneur, ta fidélité
Confession du péché
Nous prions. Père, nous reconnaissons devant toi que, appelés à partager, nous ne savons pas vraiment faire. Notre cœur se détourne de toi, nous cherchons notre propre confort, notre propre richesse. Nous servons nos propres désirs et non pas ta justice.
Notre Père, que ton règne vienne ! Nous oublions que ton règne est toujours là où nous ne l’attendons pas. Ne nous laisse pas nous égarer. Nous oublions que justes, nous ne le sommes pas par nous-mêmes, car c’est toi seul qui nous appelles à la justice…
Notre Père, donne-nous la surprise de ta parole et la joie de ta grâce. Amen.
Psaume 36,2 : Ô Seigneur, ta fidélité
Annonce de la grâce
Je vous invite à vous lever, pour accueillir ensemble la parole de la grâce. Dieu connaît notre humanité. C’est bien humains que nous sommes, et pas des dieux. C’est au cœur de l’humanité qu’il a jeté sa grâce comme on jette une poignée de graines. Pour chacun d’entre nous, maintenant et pour toujours, la grâce nous est donnée, elle nous est partagée comme la manne, dans l’abondance et la justice. Qu’elle grandisse et fasse du fruit, qu’elle nous rende joyeux et confiants !
Nous prions. Père, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Tu nous rends libres d’oser. Que partout sur cette terre, la trace de ta grâce pousse les humains à devenir libres de vivre selon ta parole. Que l’émerveillement de la rencontre avec toi ne cesse jamais ! Que nous ne cessions jamais d’oser partager ta joie dans le monde ! La grâce nous y accompagne à chaque pas. Père, que ta volonté soit faite. Amen.
Psaume 36,3 : Ô Seigneur, ta fidélité
Lectures et prédication
Nous prions ensemble avant de lire les Écritures. Père, donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour ! Au moment de lire ensemble ce livre qui n’est pas qu’un livre, mais qui est pour nous le pain de la route, nous te prions d’inspirer celles et ceux qui parlent et d’éveiller la joie de celles et ceux qui écoutent. Amen.
Lectures
1 Corinthiens 10,16-17
La coupe de bénédiction, sur laquelle nous prononçons la bénédiction, n’est-ce pas une communion au sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-ce pas une communion au corps du Christ ? Puisqu’il y a un seul pain, nous, la multitude, nous sommes un seul corps ; car nous partageons tous le même pain.
Jean 6,51-58
C’est moi qui suis le pain vivant descendu du ciel. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra pour toujours ; et le pain que, moi, je donnerai, c’est ma chair, pour la vie du monde.
Les Juifs se querellaient entre eux ; ils disaient : Comment celui-ci peut-il nous donner sa chair à manger ?
Jésus leur dit : Amen, amen, je vous le dis, si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas de vie en vous. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle, et moi, je le relèverai au dernier jour. Car ma chair est vraie nourriture, et mon sang est vraie boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, comme moi en lui. Comme le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et comme moi, je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi. Voici le pain descendu du ciel. Il n’est pas comme celui qu’ont mangé les pères : ils sont morts. Celui qui mange ce pain vivra pour toujours.
Cantique : 24-18 : Seigneur tu es notre joie
Prédication
« Comment celui-ci peut-il nous donner sa chair à manger ? » Comment est-ce possible ?
Spontanément, c’est bien ce que nous nous demandons. Nous avons une fâcheuse tendance à nous poser des questions techniques, au fond. Il y a chez nous comme une méfiance envers ce Dieu qui nous offre quelque chose de bien étrange. Peut-être bien que nous posons toujours à Dieu la question : « Comment ça marche ? Comment c’est possible ? ». Ou alors : « Qu’est-ce qu’il faut faire pour que tu nous aimes ? » Et que cette question en trahit une autre : « Mais, pour de vrai, comme disent les enfants, qu’est-ce que tu fais pour nous ? » Nous voulons un Dieu qui fait quelque chose pour nous, mais quelque chose qui soit à notre mesure, que nous puissions comprendre.
Mais il semblerait que ce qui intéresse Dieu, ce n’est pas de répondre à nos questions techniques. Non, c’est notre vie qui l’intéresse. Dieu a des choses à dire sur ce qui nous fait vivre. Et il l’a fait d’une façon extraordinaire, radicale. Il est devenu ce qui nous fait vivre. Voilà ce que recouvre ce passage de l’évangile de Jean, cette nouvelle radicalement nouvelle : Dieu est venu nous nourrir, pour de vrai. Pour une vie véritable. Il est venu se partager lui-même, en personne, avec nous.
Nous voulions un Dieu qui fait quelque chose, depuis les cieux, et voilà qu’il descend sur terre. Nous sommes prêts à grimper là-haut de toutes nos forces, et c’est lui qui descend parmi nous. Nous sommes prêts au sacrifice pour obtenir une miette de sa grâce, et c’est lui qui arrive pour nous l’offrir tout entière. Le pain de vie, ce n’est pas quelque chose que nous allons chercher dans les cieux : c’est quelqu’un… qui en descend. Ce n’est pas un objet qui comble notre faim, c’est une personne qui agit en nous.
Le pain de vie dont parle Jésus, c’est lui-même. Ce n’est pas un pain que nous pourrions aller acheter et partager en plusieurs morceaux pour le distribuer nous-mêmes autour de nous ; c’est un pain qui se mêle à notre vie, qui lui donne la vie véritable, en nous, au plus profond de notre être intime, tellement intime qu’il y disparaît, comme un morceau de pain est mâché, digéré, métabolisé, apportant la vie même à nos cellules, à notre sang, à notre cerveau, à notre cœur, à nos gestes, à notre sommeil, à notre désir d’aller vers les autres, vers le monde, à agir, à changer, à bouleverser ce monde ! C’est toute notre vie qui est nourrie par ce pain-là.
Dieu, devenu pain vivant descendu du ciel, transforme notre faim… Nous voulions un miracle : il nous donne la vie. Nous voulions une sécurité : il nous donne la force d’agir nous-mêmes.
Nous voulions un Dieu assis tranquillement dans les cieux : il nous donne de vivre vraiment dans ce monde. Nous voulions acheter notre propre pain et ne rien devoir à personne : il nous donne de le recevoir, sans jamais réclamer de retour.
C’est sans doute ça le plus extraordinaire : en se donnant comme du pain, Jésus accepte de disparaître en nous, de telle sorte que ce qu’il nous donne ne peut pas lui être rendu. La vie qu’il a donnée, c’est nous qui en vivons. Il serait illusoire de croire que nous pourrions la lui rendre : non, nous n’avons rien à rendre. Nous avons à vivre de la vie donnée. Sans effort. Sans culpabilité. En faisant confiance, simplement, à ce qui se passe jusqu’au plus profond de nous, là où nous n’avons même pas accès…
Cela nous ouvre un partage bien plus grand que le partage dont nous sommes capables par nous-mêmes : il ne s’agit pas de partager des possessions, ni des opinions, ni des convictions, mais de partager le cadeau qui nourrit vraiment, un cadeau venu de Dieu lui-même.
Alors, les questions qui peuvent nous rester ne sont plus des questions techniques. La question n’est plus « Mais comment ça marche ? » ou « Qu’est-ce qu’il faut faire ? ». La question devient : que faisons-nous de cette vie offerte ? Allons-nous vivre, véritablement, de ce qui nous est donné ? Quels partages deviennent alors possibles ?
Nous devenons capables de partager ce qui ne nous appartient pas : une Parole. Une promesse. Une espérance offerte. Une présence en nous. Nous prenons conscience que tout ce que nous avons ne fait que passer par nous. Nous pouvons couper en morceaux ce bout de pain qui nous a été donné, pour apaiser la faim des autres. Nous pouvons partager un peu du temps que nous avons reçu, pour être présent aux autres. Nous pouvons partager nos histoires, pour ouvrir les autres à une réalité autre.
Et nous pouvons nous souvenir des paroles du baptiste, qui nous dit à quoi nous pousse le don reçu de Dieu. « Que celui qui a deux tuniques partage avec celui qui n’en a pas, et que celui qui a de quoi manger fasse de même » (Lc 3,10-11). Nous entendons cela comme une liberté qui découle du don de Dieu. Le partage avec nos prochains découle du cadeau que Dieu nous fait lorsqu’il partage sa vie avec nous.
Au Défap, le partage est au cœur de l’action missionnaire. Partager une présence, une rencontre, des compétences. Partager un projet de vie, un désir de rencontre. Partager la vie d’une Église dans un autre pays et une autre culture, où la foi se vit parfois autrement que chez soi, et oser se laisser porter par la foi des autres. Cela exige de se laisser déplacer par l’expérience du partage.
Magali, envoyée au Sénégal, écrit ainsi : « Pendant mes premiers jours dans ce pays d’Afrique centrale, mes yeux s’étaient arrêtés sur une phrase parmi tant d’autres dans un livre relatant une conférence œcuménique s’étant déroulée il y a quelques années : « Partageons d’abord qui nous sommes avant de partager ce que nous avons ». Cette phrase m’accompagne chaque jour parce que partager c’est donner et recevoir, parce que partager c’est découvrir chaque jour à travers les yeux, les goûts, les paroles de l’Autre. En regardant le chemin que j’ai parcouru jusqu’à aujourd’hui dans ce pays je me rends compte de la richesse des rencontres qui ont ponctué ma route. Prêts à partager leur table, une recette, un chant, une prière, ou tout simplement un bonjour, chaque personne témoigne de l’amour de son prochain ».
Nous vivons aussi le partage, de façon intense et souvent inattendue, lors des sessions de formation des envoyés, tous les ans : partage d’idées, de rêves et d’inquiétudes, partage d’histoires de vie, partage de ce qui nous anime et nous retient. Se laisser surprendre par l’autre, c’est ça aussi le partage, et ça nous ouvre des horizons insoupçonnés.
Nous apprenons aussi à partager sans s’imposer. Parmi les envoyés, tous ne sont pas motivés par une foi, et pourtant leur désir de partir dans une réalité ecclésiale, parmi nos partenaires sur le terrain, est fort et vivant. Ils prennent le risque de recevoir quelque chose des autres, qui vient bousculer leur vision du monde – et le monde en est meilleur. Beaucoup de jeunes qui n’ont pas particulièrement de vie de foi ou de vie d’Église témoignent ainsi qu’au cours de leur formation au Défap, ils se sont sentis accueillis et ils ont découvert la foi protestante, la diversité du monde protestant, et ils ont pu approfondir leurs interrogations en toute liberté. L’arrivée dans une communauté ecclésiale sur le terrain est parfois un choc, notamment parce que dans beaucoup de pays la foi irrigue l’entièreté de la vie quotidienne et qu’une foi très vivante se vit avec les autres, sans complexe. Certains ont trouvé là le socle d’une vie de foi, même une fois revenus chez eux, où ils se sont engagés dans leur Église locale. Pour tous, il y a la conscience que par-delà les différences de religion, une chose unit les humains : la volonté d’aider son prochain.
Pour ceux que nous accueillons en France, pour une formation ou un diplôme universitaire par exemple, il y a la confrontation à la réalité des Églises dites historiques et à d’autres façons de penser l’Évangile. Ils ont, eux aussi, bien des choses à nous dire.
Toutes ces choses que nous vivons par le Défap, elles nous viennent d’une réalité qui nous dépasse : Dieu partage avec nous l’essentiel.
Jésus, devenu notre nourriture, nous transforme de l’intérieur, tranquillement, pour la vie. C’est la vie éternelle que nous recevons du Christ : non pas seulement une promesse de résurrection au dernier jour mais la vie pleine et entière, une vie qui ne s’achève pas avec la mort. Voilà qu’il vit en nous. Voilà qu’il nous rend libres d’user de cette vie pour être à notre tour source de vie. C’est à partir de lui que nous nous tournons vers les autres, que nous partageons vraiment. Que nous pouvons espérer. Aimer. Soutenir notre prochain. Protéger ceux qui souffrent. Voilà que nous nous surprenons à être des grains de blé, des bouchées de pain, des regards pleins d’espérance, une force de vie au cœur du monde. Nous nous surprenons à être ceux qui reçoivent des autres, et pas forcément ceux qui donnent.
Cette Église, cette communauté qui se réunit dans le culte, dans la communion, c’est bien là que vient s’inscrire la promesse de vie donnée par Dieu. En partageant la Parole que nous mâchonnons, que nous mastiquons ensemble, que nous accueillons comme un pain de vie. Mais aussi bien sûr, et avec l’Église universelle, autour de la table, autour du pain et du vin. Dans la Cène, Jésus est à la fois notre hôte et notre nourriture : il nous accueille, et se donne à nous.
Alors nous pouvons cesser de poser cette question technique qui nous revient toujours, « Qu’est-ce que tu fais pour nous ? Comment ça marche ? » La réponse qui nous est donnée, c’est de cesser de nous demander ce que Dieu fait pour nous. C’est simplement de croire. Comme si Dieu nous disait : « Croyez… croyez simplement en moi : c’est ce que je suis pour vous qui compte, pas ce que je fais. »
Oui vraiment, Dieu a des choses à dire sur ce qui nous fait vivre. Mais surtout : il est ce qui nous fait vivre.
Amen.
Cantique : 24-14 : Le Seigneur nous a aimés
Confession de foi
Éclairés et rassemblés par la Parole de Dieu, nous confessons ensemble notre foi.
Nous croyons en Jésus-Christ :
Il « est venu pour servir et non pour être servi »
Reconnaître son autorité, c’est d’abord accepter de se laisser servir par lui.
Il nous donne la liberté, la confiance et le courage pour agir et être.
Nous croyons en Jésus-Christ :
Il nous libère de devoir chercher l’assurance de notre valeur dans le regard des autres
Ou dans nos actes.
Grâce à son autorité nous ne sommes plus le centre de nous-mêmes
Il donne à notre vie une dignité et une identité que nous n’avons plus à conquérir.
Nous croyons en Jésus-Christ :
Il a vécu de la parole du Père, inspiré par l’Esprit du Père.
Son autorité est créatrice, et elle nous fait grandir dans notre humanité.
Son autorité ne contraint pas. Elle construit la confiance,
Elle ouvre à l’espérance.
Amen !
Cantique : 46-09 Laisserons-nous à notre table
Annonces puis offrande
Père, ne nous soumets pas à la tentation de la facilité. Ne nous laisse pas oublier que ton Église, c’est toi qui l’as appelée pour aller dans le monde, mais que c’est à nous de la faire vivre. Inspire-nous des gestes de partage et d’offrande chaque jour, comme cette offrande que nous faisons aujourd’hui pour faire vivre l’Église, auprès et au loin.
Intercession
Mon Dieu, je ne savais pas qu’il y aurait un encore.
J’avais peut-être pensé que plus rien d’important ne me surviendrait.
Je répétais peut-être par habitude des gestes dont j’avais perdu le sens.
Et puis voici qu’il y a encore quelqu’un qui me découvre et que je découvre.
Il y a encore un ami, un frère, un enfant qui m’appelle.
Et voici qu’il y a encore une parole de toi à recevoir
pour en goûter toute la force, l’espérance et la beauté.
Il y a encore tous ceux-là que je peux aimer et accompagner.
Et puis, il y a encore les plus petits d’entre nos frères, dont je suis parfois,
avec lesquels je puis combattre sans relâche.
Je ne savais pas, mon Dieu, que je pourrais accueillir
ce qui survient pour moi comme une grâce.
Et puis voici que tu viens aujourd’hui
et que ta présence me relève et me donne la confiance nécessaire
pour travailler à plus de justice et de paix, pour partager ce que tu nous donnes chaque jour.
Je ne savais pas mon Dieu qu’un jour je te prierais
de rester avec moi jusqu’à la fin du monde.
Et c’est ce que je te demande pour ce monde que tu as aimé au point de lui donner ton fils.
Et c’est ensemble que nous pouvons prier : Notre Père…
Amen
Envoi et bénédiction
Les choses anciennes sont passées. Toutes choses sont devenues nouvelles.
Nous avons entendu la parole de la confiance qui nous lance sur les chemins, nous avons reçu le pain qui nourrit vraiment et nous donne la vie.
Partageons avec le monde cette force de vie !
Dieu nous bénit et nous garde.
Il nous accorde sa grâce.
Il tourne sa face vers nous et nous donne sa paix.
Amen !
Cantique : 62-81 : Que la grâce de Dieu
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