Au nom de leurs membres, de leurs Eglises et organisations, et de par leur expérience de travail avec les personnes en situation de précarité, ces associations appellent les pouvoirs publics à mettre en place une politique juste et commune en ce qui concerne les réfugiés et migrants.

 

Logos des associations à l'origine de la lettre

 

Citant les pays d’où proviennent la majorité de ces personnes en difficulté, ils rappellent que leur nombre augmente de manière critique : elles fuient la guerre, la persécution ou des conditions de vie devenues trop difficiles. Le manque de chemins légaux et sûrs pour venir en Europe les oblige à prendre de gros risques et notamment à s’appuyer sur des passeurs. L’Union Européenne fait face à une crise humanitaire, il est du devoir des États-membres de réagir.

 

Les associations demandent aux leaders de l’UE et gouvernements européens de consolider et maintenir les efforts entrepris pour sauver les vies des réfugiés et migrants ; et de mettre en place et financer des réponses légales et pratiques en assurant et facilitant les procédures de demandes d’asile.
La liste des demandes est longue mais tout ce qui y est mentionné est destiné à améliorer la situation de crise à laquelle l’Europe doit faire face aujourd’hui.

 

Dans leur lettre, les associations insistent sur l’importance d’une action coordonnée et rapide. L’UE doit agir conformément à ses principes constitutifs concernant la dignité humaine, la liberté, la démocratie et l’égalité.
Et de conclure sur cette phrase de Donald Tusk, président du Conseil européen : « Le débat public sur la migration doit signifier en premier lieu la volonté de montrer solidarité et sacrifice, sans tenir compte de l’origine ethnique, de la religion et de la nationalité ».

 

Lisez la lettre en entier

 

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