Volontaire en réciprocité au centre Théodore Monod, Tabitha nous partage un poème dans sa lettre de nouvelles de juin. Découvrez-le dans ces lignes !

Dans un jardin d’âges différents, un voyageur égaré,
Parmi les arbres robustes et les fleurs, un cœur serré.
Un sentiment étrange, une note qui détonne,
Dans une mélodie où les sourires brillent, mais résonnent faux.
Les conversations tissent des liens, invisibles et forts,
Mais à l’écart, cherchant un chemin, brisant les remparts.
La confiance s’effrite, chaque visage, un mystère dévoilé,
Dans ce labyrinthe d’adultes, je suis un voyageur perdu.
Mais une lumière brille, un havre d’innocence trouvée,
Les enfants, compagnons sincères, aux yeux purs et révélés.
Sous leur regard, un sens retrouvé, une vérité jaillit,
Dans ce monde parfois dur, leur innocence, mon seul appui.
L’écho d’un pays lointain, dans le cœur, une douce complainte,
La nostalgie, un voile incertain, que les rires d’enfants éteignent.
BAFA, un chemin d’effroi, mais aussi de découvertes sans fin,
Où l’accent sème le doute, mais l’amitié prend son chemin.
Des week-ends à la montagne, des musées visités avec passion,
Des expériences extraordinaires, malgré toute hésitation.
Dans les yeux, chercher la lumière, des âmes qui comprennent,
Alors, s’éloigne la chimère, et le cœur, enfin, se détend et s’étreint
Tabitha
Téléchargez cette lettre de nouvelles en pdf


